Ce que la vie doit à la mort

Ce que la vie doit à la mort

Quand la matriarche de famille tire sa révérence

« Comme chez les éléphants, la matriarche humaine est le pilier central de la famille », écrit Boucar, qui a perdu sa mère l’an dernier. « Cest pour me relever de sa disparition que j’ai écrit ce modeste bouquin ». Un livre aussi touchant qu’instructif et tendre.
 
Avec sa verve habituelle, son humanisme lucide et son sens inné de la vulgarisation scientifique, Boucar nous rappelle quelques vérités essentielles de l’existence. De celles qui nous aident à apprivoiser la mort mais aussi à profiter pleinement de la vie puisque qu’elles « sont les deux faces d’une même pièce ».
 
Qu’il évoque ce que lui ont légué ses ancêtres ou qu’il partage avec nous ses connaissances, le conteur biologiste fait le lien entre le monde réel et celui qui nous habite. Et nous assure que nos mères vivent en nous, autant sur le plan spirituel que matériel. « Comme dit le proverbe africain, l’éléphant meurt, mais ses défenses demeurent. » Parole de Boucar!

Illustrations de Philippe Béha 

 

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Date de parution : 15 septembre 2022
13,97cm x 20,95 cm
152 pages
ISBN (papier) : 978-2-89825-140-5 
ISBN (PDF) : 978-2-89825-141-2
ISBN (EPUB) : 978-2-89825-142-9

Version papier

$26.95

Version numérique

$18.99

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photo: Caroline Roy

Diouf, Boucar

 


Biologiste et humoriste, animateur de télévision et de radio (Manger, La nature selon Boucar), Boucar Diouf a écrit plusieurs livres à succès : Pour l’amour de ma mère, Sous l’arbre à palabres, mon grand-père disait... 2,0, Rendez à ces arbres ce qui appartient à ces arbres, Boucar disait… pour une raison X ou Y, Apprendre sur le tas, la trilogie des Boucar raconteLa face cachée du grand monde des microbes, Le Bourlingueur de Matungoua, Ce que la vie doit à la mortAventures et sagesses du village de Zamboki et Ce que la vie doit au rire.

Son site: http://www.boucar-diouf.com/